Questions fréquentes
Vos questions, mes réponses
J'ai dressé une liste des questions qui me sont le plus fréquemment posées. Il est normal et même conseillé aux patients de poser de nombreuses questions lorsqu'ils décident de consulter un(e) Psychologue. Dans cette rubrique, vous trouverez les questions qui me sont le plus fréquemment posées. Si vous ne trouvez pas la réponse à votre question, n'hésitez pas à me contacter.
Combien de temps dure une consultation ?
Une consultation dure entre 30 et 45 minutes
Quels sont vos honoraires ?
Le co ût d'une consultation est de 60€. Les règlements sont acceptés en chèques et en espèces.
Les séances sont-elles remboursées par la Sécurité Sociale ?
A ce jour, la sécurité sociale ne prend pas en charge les consultations libres avec un psychologue. Certaines expérimentations ont été menées, et des dispositifs existent désormais, mais leurs conditions s'avèrent décevantes, pour les patients comme les praticiens. Le cabinet n'est pas conventionné avec une de ces mesures jugées éthiquement et techniquement inadaptées.
En revanche, certaines mutuelles proposent le remboursement d'un certain nombre de séances, en fonction de votre contrat. Pour savoir si c'est le cas de votre mutuelle, et quelles sont leur conditions, référez vous à votre contrat, ou bien appelez là directement.
Combien de temps dure une thérapie ?
Le temps de la thérapie n'est pas déterminer à l'avance, ni fixé par une norme extérieure. Il s'ajuste au besoin du patient, à son élaboration. Certaines personnes souhaitent venir pour quelques consultations afin de réfléchir à un sujet très précis. D'autres viennent dans une démarche qui demandera plus de temps.
La thérapie s'achève lorsque le patient se sent suffisamment soulagé des maux qui l'ont conduit à consulter, et à-même de réutiliser, pour lui-même et seul, les mécanismes d'élaboration déployés en thérapie pour résoudre ses conflits.
J'ai entendu dire que les psychologues sont silencieux. Est-ce vraiment le cas ?
Psy qui parle ou psy muet ?
Le stéréotype du thérapeute interminablement silencieux, ou qui ne ponctue sa séance que de quelques "hmm", est très éloigné de ma pratique. Il me parait important d'intervenir et d'être vivante face au discours de mes patients. Une réaction à la gravité de ce qui est dit, le renforcement d'une idée forte et porteuse d'élaboration, une question pour relancer la pensée, ou parfois encourager... J'envisage la psychothérapie comme une co-construction qui nait du partage des idées du patient et de son thérapeute à propos des vécus du premier.
Toutefois, il est vrai que pour bien écouter l'autre, il faut commencer par se taire un peu. Des temps de silences peuvent parfois survenir lors d'une consultation. Ces temps sont aussi des moments nécessaires à ce que la pensée émerge. Il ne s'agit en effet pas d'intervenir tout azimut, mais seulement lorsque cela va dans le sens du soutien de la pensée et de la mise en discours du patient.